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Sélection des photos par période :
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août 2009 - Au jardin, une multitude de papillons butinent les fleurs parfumées du buddleia ( arbre aux papillons ) 6 août 2009 vers minuit - La pleine lune illumine le ciel étoilé - De gauche à droite : Le Moléson en arrière plan, le Mont Gibloux et son antenne, Posieux, le pont de la Glâne et Rosé 23 juillet 2009, 15h47 - Vue de la terrasse d'un impressionnant front orageux, approchant par l'ouest en plein milieu d'après-midi. Il fait presque nuit quand la tempête de grêle balaie la région quelques minutes plus tard, martelant le sol de ses projectiles mesurant jusqu'à 5 centimètres de diamètre. La nature est meurtrie et les voitures toutes bonnes pour la carrosserie.
23 mai 2009 - Sous l'étroite surveillance des parents, les petites mésanges bleues font enfin leur apparition, pointant leur tête hors du nichoir, et jetant ainsi leur premier regard sur le monde dans lequel ils évolueront bientôt. En moins d'une heure, trois d'entre elles vont faire le grand saut pour s'envoler, un peu titubantes, vers les branches des grands arbres voisins.
mi-mai 2009 - Un couple de mésanges bleues a élu domicile dans un nichoir à quelques mètres des fenêtres. Depuis une bonne semaine, les poussins sortis de leur coquille piaillent de leur cri strident à chaque becquée. Dans un ballet incessant, les parents effectuent des centaines de sorties quotidiennes pour gaver leur progénitures de protéines : vers, chenilles et autres insectes... Ici, un des parents en approche finale, cargaison au bec, à moins d'un mètre du nid. début mai 2009 - La première rose du jardin pointe le bout de ses pétales jaunes mi-mars 2009 - Les bourgeons des forsythias "éclatent" un à un, annonçant de leur couleur jaune vive l'arrivée du printemps février 2009 - Les jours se rallongent chaque jour un peu plus. Le soleil couchant embrase le ciel peu avant 18h00 février 2009 - A quelques mètres de la baie vitrée du lieu d'enseignement, une mésange charbonnière s'approvisionne sur la mangeoire, très sollicitée durant cette longue période de froid hivernal. C'est la plus grande des mésanges, presque aussi grande que le moineau domestique. Sa tête noire contraste avec ses joues blanches et son ventre jaune. On la trouve presque partout et c'est l'un des oiseaux les plus répandus du canton de Fribourg. La mésange bleue est plus petite que la mésange charbonnière et son bec plus court. Elle est reconnaissable par sa couronne bleue et son front blanc. Les populations de mésanges bleues ont décliné durant les dernières décennies suite à la régression de leurs habitats forestiers. Les hivers rigoureux sont très menaçants et déciment parfois bon nombre de leurs effectifs. Bien que généralement sédentaire, la mésange bleue de nos contrées migre partiellement. La mésange huppée se distingue facilement par sa huppe érectile striée de noir et blanc se dressant sur le sommet de sa tête. Sédentaire, elle se montre généralement fidèle à son lieu de naissance, y installant son habitat à l'année. La mésange huppée est un peu farouche et se laisse difficilement approcher, craignant les espaces dégagés. Dès septembre, elle se joint à ses congénères les mésanges, grimpereaux et roitelets, qui s'associent durant la saison froide en quête de nourriture. Une mésange nonnette. Sa taille est semblable à celles des mésanges bleues et huppées. Elle se reconnaît par sa calotte noire, son menton noir sous le bec et des joues blanchâtres. Les couples de mésanges nonnettes sont inséparables. Les mâles et femelles une fois unis en début d'année ne se quittent plus jusqu'à l'hiver. En automne, elle constitue souvent des réserves de graines qu'elle cache dans des fissures d'écorce, sous la mousse ou à l'intérieur du sol. Une sittelle torchepot vient faire le plein de graines qu'elle va ensuite dissimuler sous l'écorce du grand pin voisin. A l'aide de ses puissantes griffes, elle monte ou descend verticalement sur les arbres. Elle se déplace parfois même suspendue sous les branches, comme épargnée par les lois de l'attraction terrestre. La sittelle vit généralement en couple, très attachée à son territoire qui est bien délimité. Les hôtes de la mangeoire consomment goulûment plus de 10 kilos de graines par mois. Le rouge-gorge préfère picorer à même le sol les graines tombées de la mangeoire. Plutôt craintif, espiègle et farouche, il peut devenir agressif quand il s'agit de protéger son territoire. Le rouge-gorge apprécie les milieux boisés. Un merle 13 janvier 2009 - Un milan royal volant à quelques mètres de la baie vitrée du lieu de stage avec le Moléson en arrière plan. Sans doute le plus impressionnant après l'aigle royal, il se plaît à survoler gracieusement la vallée de la Sarine en quête de nourriture, se laissant porter par le vent. Adepte du moindre effort, le milan royal plane de son mètre soixante d'envergure, jouant nonchalamment de ses grandes ailes presque immobiles avec les courants aériens. Il surprend par ses figures aériennes étonnantes, précises et rapides : piqués, voltes, ... Habituellement migrateurs, les milans royaux ayant élu domicile aux abords de la Sarine sont devenus sédentaires et semblent s'accommoder pleinement du climat hivernal plutôt rigoureux allant facilement jusqu'à -15°C. En 2009, tout est neuf - Un réveil enneigé et ensoleillé au premier matin de l'an 9 - Quelques feuilles de forsythia persistent |
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